L’Arche de Margaux, le résumé :
Le personnage principal est une jeune femme d’une vingtaine d’années dont l’enfance joyeuse dans une famille aimante, au pied de la cité Carcassonnaise a pris fin au décès brutal de ses parents. Margaux est impulsive, volontaire, courageuse. Son opiniâtreté et sa force de caractère l’aideront à surmonter l’adversité et à refuser le malheur. Au détour des ruelles de la cité, quelques personnages pittoresques, amis ou passants, participeront à leur manière, volontairement ou non, à sa quête d’idéal. Victoire, l’amie d’enfance, Louise, la grand-mère de substitution, Philippe, le patron du Bistrot des Remparts et bien d’autres.
Extrait :
Vers 20 heures, alors que les trois femmes étaient à table, on avait frappé à la porte. Grand-mère s’était levée pour aller ouvrir.
− Qui est là ?
− C’est moi, c’est Julien.
− Entre mon garçon, avait-elle dit en ouvrant la porte, tu as besoin de quelque chose ?
− Non, je n’ai besoin de rien. J’ai quelque chose pour Margaux.
− Ça m’étonnerait bien. Je n’attends rien de bon de toi !
− Margaux ! Nous savons tous que tu as du chagrin. Ce n’est pas une raison pour être méchante, l’avait gentiment sermonnée grand-mère.
− Pardon grand-mère. Bon, qu’est-ce que tu as pour moi, alors ?
Malgré le ton désagréable de Margaux, Julien souriait. On aurait dit un garnement sur le point de jouer un bon tour.
Il s’était avancé dans la pièce, tenant dans les bras une grosse boule de poils qui jappait :
− Voilà ce que j’ai pour toi. C’est un labrador. Il s’appelle Max.
− Je ne t’ai rien demandé. Tu crois que tu peux remplacer Diane comme cela ?
− Tu n’en veux pas ? Bon. C’est dommage. C’est le dernier d’une portée de six. C’est le plus malingre. Tous les autres sont partis, mais celui-ci, personne n’en veux. Je vais le ramener à son propriétaire. Il le portera à la SPA. Au mieux, il sera adopté, au pire…
Julien avait posé le chiot sur le sol, devant Margaux qui s’était accroupie pour mieux le voir. Le petit animal s’était précipité sur elle, entreprenant de lui lécher le visage.
− Alors, qu’est-ce que je fais ? Je le reprends ?
− Maintenant qu’il est là, tu n’as qu’à le laisser.
− Très bien. Il est tatoué et vacciné. Je t’apporterai les papiers demain. Je vais vous laisser. Bonne soirée. Et bon appétit.
Il s’était dirigé vers la porte, puis brusquement, avant de sortir, il s’était tourné vers Margaux.
− Je suis sincèrement désolé Margaux. C’est un accident. Un stupide accident.
− Oui, je le sais… Merci pour Max.
− Eh bien, ce gars-là est vraiment mordu pour toi ! avait dit Victoire. Et il a l’air si gentil !
La presse parle de L’Arche de Margaux
Des vidéos sont disponibles
marie –
Depuis moins d’un an j’ai découvert votre livre L’Arche de Margaux et j’adore. L’histoire de cette héroïne est passionnante et il est difficile d’en arrêter la lecture. Merci
Louise –
J’avais lu votre 1er roman, La Cécilia. Du coup, lorsque je vous ai rencontrée chez Leclerc de Saint Aunès j’ai eu envie de découvrir ce nouveau roman. Et je n’ai pas été déçue. Vous avez une façon inimitable de décrire les tourments de l’âme humaine. C’est triste mais joyeux. J’ai pleuré un peu et j’ai rit également. Décidemment, vous êtes une auteur à suivre.
Fabien –
J’ai lu votre roman L’Arche de Margaux. Un moment de bonheur, de détente. Je vais vite me procurer La Cécilia. Continuez de nous faire rêver
Micheline –
Merci pour la jolie dédicace qui accompagnait le livre que ma petite fille m’a offert pour mon anniversaire. Vos personnages sont sensibles et attachants. Vos mots sont remplis de douceur et de joie de vivre.
JEAN –
Bravo ! Bravo ! Bravo ! Je vous imagine aussi adorable que vos personnages Séverine ou Margaux. N’y a-t-il pas du récit autobiographique ?
Jocelyne –
Je vous ai découverte avec La Cécilia que j’ai dévorée en une soirée. Je suis impatiente de commencer L’Arche de Margaux puis Parfums de Femmes. Je voulais vous dire que j’aime beaucoup vos livres
Valérie –
L’Arche de Margaux est l’un de mes plus beaux moments de lecture de 2018. Merci